La Diablo est
apparue en 1990 avec un V12 5.7 de 492ch et terminera sa
carrière avec ce 6.0 développant 550ch. Esthétiquement, les
retouches successives n'ont heureusement pas affadi le style de
l'auto, toujours aussi époustouflant.
Lourde, délicate à piloter et
plutôt évasive du point de vue de la finition et de
l'ergonomie, la Diablo n'est pas une voiture très aboutie. Mais
la poussée et la sonorité du V12 n'ont pas d'équivalent. Un
vrai diable dans le dos ! |
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